John McClane doit sauver Matt Farrell, un jeune hacker, cible de mystérieux tueurs. Quelques heures plus tard, le pays tombe dans le chaos le plus total: en effet, les réseaux informatiques du pays sont piratés puis détruits. Electricités, transports, argents…le dangereux terroriste contrôle tout. McClane a quelques heures pour sauver son pays…

Len Wiseman, déjà aux commandes de Underworld (vampires vs lycans), reprend la saga Die Hard pour un quatrième volet.  De l’action à gogo, des voitures qui explosent, des bastons…tout y passe. En terme de blockbuster, Die Hard 4.0 remplit son contrat. Le réalisateur rajoute du cynisme et beaucoup d’humour, ce qui allége le film. S’il n’y a pas grand chose d’original dans le scénario, l’intérêt réside dans les personnages et leurs actions dont le héros l’inspecteur John McClane. En toile de fond, le réalisateur parle politique: le après 11 septembre et met en avant la fragilité du système américain. Le reste se regarde sans aucune prise de tête. C’est là tout ce qu’on lui demandait. Bruce Willis rempile pour une 4e fois et est toujours à la hauteur. C’est Bruce Willis, quoi!! A ses côtés, la découverte de Justin Long, dont le personnage est absolument hilarant ( la scène où il essaie d’allumer la voiture en faisant croire à un accident), Timothy Olyphant méchant super sexy, Mary Elizabeth Winstead en fille McClane, le français Cyril Raffaelli et l’asiatique Maggie Q.

Die Hard 4.0 remplit son contrat haut la main. Entre action et déconnade, Bruce Willis castagne, fait exploser des hélicoptères et sauve le monde. Len Wiseman signe un blockbuster moins stylisé et original que son Underworld, certes, mais un blockbuster fort sympatoche. C’est déjà pas mal.